Au programme de la visite du théâtre de Cornouaille mi-octobre, de nombreuses anecdotes sur l’histoire et l’architecture du lieu, des explications liées au vocabulaire technique (des cintres aux pendrillons en passant par le grill et les frises) et la présentation des différents métiers qu’abrite le théâtre. Véritable dédale de béton et de bois qui se visite de la cave jusqu’au grenier, ou plutôt de « la forêt », nom poétique donné à l’espace saturé de piliers situé sous la scène, à « l’atelier », nom de la salle haut perchée qui accueille des spectacles intimistes, des répétitions ou des ateliers. C’est précisément dans ce lieu que les étudiant.e.s mettront bientôt en voix et en espace le début de La Double Inconstance de Marivaux, pièce qui sera donnée en novembre dans une mise en scène de Galin Stoev qui s’annonce audacieuse.